Justice Pro Bono propose des actions concrètes pour soutenir et faciliter l’intégration des ressortissants ukrainiens
Les ressortissants ukrainiens qui arriveront prochainement au Québec auront certainement des besoins variés en matière juridique, notamment en droit de l’immigration, du travail, en logement, ou encore concernant l’accès aux services publics (services de santé, services sociaux, éducation). De même, les Ukrainiens déjà installés au Québec et qui sont en attente du renouvellement de leur visa ne savent pas vers quel organisme se tourner pour les accompagner dans leurs démarches. Les avocats de Justice Pro Bono se sont mobilisés pour offrir leurs services, entièrement gratuitement.
« La communauté juridique a rapidement voulu s’impliquer afin d’accompagner les ressortissants ukrainiens dans leurs démarches administratives et légales qui peuvent s’avérer complexes pour des personnes qui arrivent dans une situation précaire. Déjà, après quelques jours, nous avons répondu à plusieurs demandes », explique Me Anne-Marie Santorineos, avocate, LLM, directrice générale de Justice Pro Bono.
Justice Pro Bono coordonne les efforts des acteurs du milieu juridique et des organismes d’accueil et d’intégration sur le terrain afin de s’assurer que les individus qui auront des besoins juridiques pourront trouver de l’aide rapidement. L’organisme travaille notamment avec la Fédération nationale ukrainienne, la Table de concertation pour les personnes immigrantes et les réfugiés et la Ville de Montréal.
Justice Pro Bono offre des séances d’information et des consultations individuelles avec des avocats, dont plusieurs parlent l’ukrainien, sur différents sujets notamment sur les demandes temporaires de visa, les permis de travail et l’autorisation de parent non-accompagnant pour les enfants mineurs.
À propos de Justice Pro Bono
Justice Pro Bono est un organisme à but non lucratif, créé en 2008, à l’initiative du Barreau du Québec, dont la mission est de mobiliser la communauté juridique à donner expertise et temps aux individus et aux OBNL québécois n’ayant pas les ressources nécessaires pour accéder à des services juridiques.